En tout cas, le mariage annoncé entre l'OTRE et la branche dissidente de l'Unostra qui affirme regrouper près de 70 % des effectifs de l'organisation à l'échelle nationale, semble donner lieu à des interprétations différentes. La demoiselle (Stop-Unostra) ne paraît pas disposée à perdre son nom. « On ne tire pas comme ça un trait sur 50 ans d'histoire, déclare Yves Quemeneur, l'un des animateurs de Stop-Unostra. Ce qui nous préoccupe, c'est la pérennité de l'Unostra ». Selon le secrétaire général de l'Unostra Franche-Comté/ Bourgogne, la date du 11 septembre programmée pour la publication des bans est prématurée. « Il faut que les gens apprennent à travailler ensemble », estime Yves Quemeneur, selon lequel le mariage avec l'OTRE ne peut revêtir une autre forme que celle d'une confédération. De son côté, Jean-Pierre Morlin annonce que la réunion du 11 septembre... est avancée de quelques jours. Par ailleurs, il ne p
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