L'affaire : le 10 juillet 2008, leur dirigeant Pierre Verdier a adressé au centre de traitement du groupe D&O - Euro TVS à Paris 19è le règlement de ses cotisations en deux chèques distincts pour un montant total supérieur à 30 000 €. Alerté par une relance de l'organisme, il s'informe auprès de sa banque : les deux chèques ont bien été encaissés, mais pas par leur destinataire. Sur l'un, la mention du bénéficiaire a été falsifiée au profit d'une EURL parisienne. Laquelle a déposé le chèque sur un compte bancaire dont elle a demandé la clôture. Le chèque de banque correspondant au solde créditeur de ce compte a été ensuite présenté par une banque belge. Le chef d'entreprise a porté plainte auprès du TGI de Paris en octobre, mais il n'est toujours pas rentré dans ses fonds (26 000 €). Pire : la Carcept continue de lui adresser des mises en demeure, avec menace de faire intervenir un huissier, pour défaut de règlement des cotisations de prévoyance. Pierre Verdier souhaite e
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