« La nomination d'un administrateur judiciaire permettra aux salariés d'être correctement informés et leur garantira le versement d'un salaire, même rétroactivement », précise Louis Wallon dans La Voix du Nord (1/12). Les 13 salariés de l'entreprise de transport léger, dont le dirigeant s'est volatilisé le 26 novembre (L'OT 2335), ne pouvaient prouver la rupture de leur contrat de travail et bénéficier des indemnités de chômage. Jusqu'à ce que le sous-préfet de Lens, avec qui ils se sont entretenus le 1er décembre, leur donne un coup de pouce. Enfin inscrits à l'ANPE, les employés peuvent prétendre aux Assedic même s'ils leur reste « à obtenir une avance sur le montant des allocations, somme qu'ils s'engagent à rembourser dès que leur situation sera régularisée », indique Jacques Delelis, délégué CGT en charge du dossier. Deux conducteurs ont retrouvé un emploi. Pas de nouvelles, en revanche, de leur ex-employeu
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