Publié le : Dernière Mise à jour : 20.08.2024Par : A. M.Lecture : 4 min.
La réécriture de la convention collective et la négociation d’un « socle minimal de négociation obligatoire » avec les représentants des chargeurs constituent les deux plus gros chantiers issus des États généraux. De la cinquantaine de préconisations exprimées en mars 2010, peu ont trouvé jusqu’ici à se concrétiser. Les dossiers du congé de fin d’activité et de la complémentaire santé ont, il est vrai, retardé les partenaires sociaux dans la poursuite des travaux. Sans oublier d’autres freins, plus politiques. État des lieux.
C’était le 10 mars 2011, la séance de restitution des États généraux ouverts plus d’un an auparavant, le 19 janvier 2010. Entre-temps, une centaine de réunions avaient rassemblé les représentants des organisations professionnelles, des syndicats de salariés et de l’État, éclatés en trois groupes de travail : « contrat global de performance », « attractivité des métiers » et « rénovation de la convention collective ». Avec la présence ponctuelle, sur des thèmes qui nécessitaient leur concours ou leur expertise, de participants extérieurs au trinôme : représentants des chargeurs,
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