. La phase d'expérimentation qui se clôt en 2006 démontre « la pertinence de ce mode de transport qui s'est parfaitement intégré dans la stratégie des transporteurs français et italiens » estime Gilles Cattani, directeur commercial de l'AFA. Pour preuve : en octobre, le réseau a enregistré ses meilleures performances avec un taux de remplissage de 91 % et 2 200 véhicules acheminés. « Aujourd'hui, nous refusons 80 à 100 demandes hebdomadaires », complète Gilles Cattani. Avec seulement 4 navettes quotidiennes de 11 wagons entre Aiton (France) et Orbassano (Italie), et la fermeture complète de la ligne pour travaux cinq heures par jour, l'AFA est tout autant victime de son succès que de la saturation des moyens existants. Pourtant, l'adoption de cette ligne par les transporteurs était loin d'être acquise. Déjà les contraintes techniques n'ont pas permis d'accueillir la totalité des camions. Dans un premier temps, seules les citernes ont
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?