La Picardie sous haute tension

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En Picardie, la campagne betteravière qui va débuter dans quelques jours s'annonce houleuse, en raison des prix pratiqués par des sucriers et de l'utilisation du cabotage, au delà des 30 jours légaux.

Info ou intox ? Plusieurs sucreries de la région picarde ont averti le préfet début août qu'une pénurie de poids lourds menaçait la ramasse de betteraves. Pour résoudre le problème, elles proposaient d'avoir recours à de la main d'oeuvre étrangère. Pour Noël Thiefine, secrétaire général de la FNTR Picardie, « les sucriers oublient de préciser qu'ils proposent des tarifs trop faibles. Certains ont même voulu toucher à l'indexation sur le prix du gazole ». Deux réunions ont eu lieu avec Michel Sappin, le préfet de Picardie. Fin août, il envisageait de prendre un arrêté exceptionnel autorisant le 44t ou de permettre le cabotage de 120 postes (60 poids lourds) étrangers chez les sucriers arguant du manque de PL disponibles. Finalement, selon le cabinet du préfet, « l'arrêté sur le 44t ne sera pas adopté, mais celui sur le cabotage devrait passer avant le 20 septembre. Cette possibilité sera offerte à quelques entr

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