La pression sur le gouvernement s'accentue

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Répartition des tâches au ministère : le 24 mai, Gilles de Robien annonçait quelques avancées attendues par la FNTR sur le cabotage et la répercussion du gazole tandis que, la veille, François Goulard avait amorcé une ouverture sur la taxe professionnelle et les 44 t en direction de l'UPR. Mais les mouvements revendicatifs se poursuivent.

Le 23 mai, la FNTR a attaqué la première phase de son opération « Oui ou non, mais je veux survivre » (L'OT 2311). Un slogan que la Fédération nationale des transports routiers voudrait voir sur 50 000 poids lourds au cours de la première semaine du mouvement, 100 000 durant celle qui suivra le référendum du 29 mai, selon son délégué général Jean-Paul Deneuville. Les actions laissées à l'initiative des unions régionales se mettent aussi en place. La Franche-Comté a déposé une gerbe devant la préfecture du Doubs, à Besançon, pour symboliser « la mort des transporteurs routiers français ». Dans le Nord-Pas-de-Calais s'organise le « pointage-contrôle » des véhicules étrangers sur l'autoroute A1 qui, le 26 mai, devra démontrer l'ampleur de la fraude au cabotage. Des conférence

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