La prime «anti-grève» condamnée en référé

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Le 15 avril, le juge des référés du tribunal de grande instance de Dax a ordonné l'annulation de la prime de 1 000 € que la direction de GT a mise en place début février, en échange d'un engagement de la part des salariés à ne pas se mettre en grève (L'OT 2444).

Motif invoqué par le juge : « le fait de créer et de remettre une avance permanente, et de poser comme condition à son maintien le renoncement à toute absence et notamment toute action de grève ou de débrayage futurs [...] constitue une atteinte manifeste au droit de grève des personnels ayant signé le document [...] ». « Cette initiative avait été instaurée précisément à la veille d'une grève », affirme Michel Audebert, délégué syndical à la CFDT Transport du département. La prime de la discorde, baptisée « contrat de garantie et de permanence de prestations » par Michel et Eric Sarrat, les dirigeants de GT, avait fait la « une » de la presse économique au moment de sa mise en place. Acceptée par une partie des 94 salariés du site de Tarnos (40), où GT exploite le transport et la logistique du motoriste Turbomeca, elle avait été re

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