Durant trois jours de débats, chefs d'entreprises, syndicalistes et représentants de l'administration ont fait le point sur l'avancée des « accords de bonnes intentions » que les transporteurs espagnols avaient obtenu du gouvernement après deux jours de grève les 17 et 18 octobre (L'OT 2329). Résultat : les accords ont abouti à la création de commissions qui planchent sur des dossiers tels que la retraite à 60 ans, la reconnaissance de certaines maladies professionnelles et la répercussion du surcoût gazole. « Nous obtenons entre 2 et 3 % de revalorisation tarifaire alors qu'il nous en faudrait 16 % pour rentrer dans nos frais », peste Pedro Conejero, vice-président de l'association espagnole des transporteurs sous température dirigée Atfrie et membre dirigeant de l'organisation professionnelle Astic. Autre dossier préoccupant pour le ministère espagnol des Transports : la transposition de la directive européenne 2002/15 limitant l
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