Au terme d'un décret du 16 mai (JO du lendemain), un secrétariat général est créé afin de piloter l'ensemble. Il se voit confié à Patrick Gandil, jusqu'ici directeur de cabinet du ministre après avoir assumé les fonctions de directeur des Routes entre 1999 et 2003. Quant à l'administration centrale, elle est resserrée autour de 9 nouvelles entités qui remplacent les 15 directions auparavant en place. La Direction des Transports Terrestres disparaît, englobée au sein d'une Direction générale de la Mer et des Transports (DGMT) dont Patrice Raulin, jusqu'ici responsable de la DTT, prend la tête. Elle coiffe, côté voyageurs, une Direction des transports ferroviaires et collectifs ; côté marchandises, une Direction des transports maritimes, routiers et fluviaux. Le fret ferroviaire, lui, relève de ces deux entités. Cette nouvelle organisation doit favoriser les synergies entre les différents modes, selon le voeu de Gilles de Robien. A une Direction générale des routes (DGR), confiée �
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