Les 200 salariés concernés par cette restructuration seront, à cette date, licenciés ou reclassés. « Chacun d'entre eux a reçu entre une et trois propositions de reclassement », précise toutefois Anne-Cécile Martel, directrice de la stratégie de DHL et porte-parole du groupe en France. Pour Patrice Huart, délégué syndical CFDT, « ces fermetures pour raisons conjoncturelles sont une bonne chose. Les dépôts étaient depuis longtemps en sous-production ». En revanche, pour le reste de la réorganisation du groupe, il se montre plus inquiet. « Nous avons signé le 11 mars un bon accord de méthode avec des projets à étaler sur les deux ans à venir. Aujourd'hui, nous sommes poussés à la roue et soumis à une cavalcade de réunions au risque d'être pris au dépourvu. Soit l'actionnaire majoritaire, la Deutsche Post, fait pression, soit les résultats ne sont pas bons, note-t-il. En tous cas, les projets s'accélèrent ». A commencer par l'harmonisation
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