La révision des RTE-T sur les rails

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Réviser la politique des RTE-T sans froisser les États membres. C’est l’esprit qui a régné à Gödöllö (Hongrie) les 7 et 8 février dernier lors du Conseil informel des ministres des Transports. Thierry Mariani, le secrétaire d’État chargé des Transports a soutenu la révision du réseau RTE-T. A sa demande, la Commission européenne a accepté d’associer étroitement les États membres à la définition du futur réseau au nom du principe de subsidiarité, tout en tenant compte des projets en cours. « Afin de financer les grandes infrastructures de transport et en tenant compte du contexte budgétaire actuel, j’ai particulièrement mis en valeur l’expérience française de partenariats public-privé, notamment en matière de grands projets ferroviaires », a déclaré le secrétaire d’État français. Pour autant, les ministres ont-ils adopté une position de principe ? « Chaque Etat a donné son avis sur la révision des RTE-T », indique-t-on au cabinet de Thierry Mariani. Seule certitude, les pays qui ont intégré l’UE en 2004 souhaitent que les sommes allouées à la révision financent leur rattrapage en matière d’infrastructures. Pour l�

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