Le 6 septembre 2006, un arrêté a autorisé l'utilisation des ultras hautes fréquences (UHF) dans la RFID. Désormais, un tag UHF permet une lecture à 4 ou 5 m de distance, contre 1 m pour les hautes fréquences. Cette évolution devrait multiplier les applications logistiques, même si la RFID (qui utilise un microprocesseur doté d'un petit émetteur radio) n'a pas vocation à remplacer tous les codes à barre. De plus en plus de transporteurs, au coeur de la « supply chain », auront bientôt affaire à l'identification par radio fréquence.
D'autant que le coût de l'étiquette a chuté. Il est passé de 40 centimes d'euro, il y a deux ans, à 10-15 centimes pour l'achat de plusieurs millions de puces électroniques. En revanche, un tunnel ou un portail de lecture coûte des milliers à des dizaines de milliers d'euros. Une plate-forme logistique peut en comporter plusieurs dizaines. Cette question reste un frein sau
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