L'actionnaire Jan Ebus s'explique

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Le président du conseil de surveillance d'Ebrex France (94), principal actionnaire de cette société (anciennement Nexia) rachetée à la barre du tribunal de commerce de Nanterre (92) en mai 2007, a déclaré à L'OT que la filiale française d'Ebrex aurait besoin d'un renflouement de l'ordre de 5 à 6 M€.

« Nous sommes en mesure de mettre de l'argent dans la société mais nous avons besoin, au préalable, de voir la lumière. Nous ne pouvons investir sans garantie, sans la certitude de gagner la partie. Il nous faut alléger les effectifs : c'est la responsabilité de William Gaillard », ajoute le président du conseil de surveillance d'Ebrex France. Lequel souligne que les difficultés rencontrées par Ebrex France sont essentiellement liées à la mauvaise conjoncture économique. « Tout le monde a perdu du business et des trafics, pas seulement Ebrex. La faute à la mauvaise tenue de la consommation », explique Jan Ebus. La mise au point de Jan Ebus intervient après les doutes émis par William Gaillard, P-dg d'Ebrex France, sur l'intention de son actionnaire de poursuivre ses investissements en France. L'entreprise a décle

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