Si cet événement est l'occasion de regarder dans le rétroviseur, il doit aussi marquer le début de « l'an I d'une mutation profonde des organisations professionnelles » qui doivent rompre avec « l'immobilisme des instances dans lesquelles nous siégeons » plaide Catherine Pons. Énervée face la « difficulté à faire bouger les choses », lassée des querelles de pouvoir et des rentes de situations - « il est hallucinant de voir des gens s'accrocher à leur fauteuil » -, elle compte sur l'arrivée d' une « nouvelle génération de chefs d'entreprises » à l'Unostra, et ailleurs, pour renouveler le visage de la représentation professionnelle. Et comme le transport « restera le premier vecteur économique de notre pays » qui ne pourra pas se développer avec « une réduction des investissements de la route », Catherine Pons encourage les adhérents à devenir de véritables acteurs de la vie politique pour « écrire l'avenir et non pl
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?