Pour elles, il s'agit même d'une condition sine qua non à la conclusion d'un accord de revalorisation des rémunérations minimales, indique l'UFT. Deux réunions de négociations salariales se sont déjà tenues, les 11 juillet et 19 septembre. La dernière est prévue le 8 décembre, les organisations patronales estimant être allées au bout de leurs propositions. Lesquelles tourneraient autour de + 6,8 % en moyenne sur l'ensemble des grilles selon la CFDT qui, elle, demande + 8,8 %. Les fédérations justifient l'idée d'une tranche salariale distincte pour les contrats de courte durée par le recours important aux CDD et à l'intérim en logistique. Les syndicats de salariés ne sont pas d'accord «par crainte d'abus». Toutefois, la CFDT et la CGT ne refusent pas a priori le principe, indique l'UFT. Tout dépend, de fait, des montants qui l'accompagnent. Et là, un
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