Avec neuf régions ouvertes au 44 t*, la stratégie de « grignotage » impulsée par la FNTR dès 2006 a engrangé des résultats positifs lors de la dernière campagne betteravière. Le bilan économique et environnemental est tel qu'il devrait déboucher sur des modifications durables du Code de la route en faveur du transport à 44 tonnes. Même si les entreprises sont libres de rester à 40t pour acheminer les betteraves vers les sucreries, les résultats sont là. « Sur un total de 3 600 véhicules qui ont approvisionné 26 sucreries, 2 100 ont circulé à 44 t, affirme Dominique Bruandet, directeur délégué du Syndicat national des fabricants de sucre (SNFS), ce qui représente 58 % des ensembles routiers. »
Au total, 33,5 millions de tonnes de betteraves ont été acheminées à partir d'une superficie de 392 500 hect
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