« Notre unique client a choisi un autre prestataire de services, délocalisant ainsi son activité. Geodis Logistics n'envisage pas l'arrivée d'un nouveau partenaire car il considère que la zone de Sélestat, à 45 km de Strasbourg, n'est pas suffisamment dynamique », affirme un salarié. Des solutions de reclassement ont été proposées mais « seuls 7 des 44 postes offerts peuvent nous intéresser et tous sont basés à Lyon », déplore l'employé. Les grévistes demandent donc à la direction de meilleures conditions. Mais leur principale revendication, c'est l'obtention d'une prime supplémentaire de licenciement : « ils ne veulent nous donner que 1 500 €, une somme nettement insuffisante ». Le 25 février, les premières négociations ont permis quelques avancées mais aucun accord n'a été signé. En attendant la prochaine réunion, la grève continue. « Geodis Logistics souhaite que nous repre
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