Le combat de Juli Transport pour se faire payer

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« C'est injuste, clament Hélène et Lilian Giauffret, cogérants de Juli Transport (69).

L'action directe en paiement constitue le seul moyen de récupérer un peu de notre argent. Pour une entreprise comme la nôtre, qui dégage 2,3 M de CA annuel, la perte de 93 000 est un gros préjudice ». La pme de 14 véhicules travaillait depuis plusieurs années pour Nexia Froid, une filiale du groupe. « Sans problème jusqu'en janvier dernier ». A cette date, la mise en redressement judiciaire de son donneur d'ordres lui laisse deux factures impayées sur décembre 2006 et janvier 2007. Les cogérants entendent lancer une procédure d'action directe en paiement à l'égard des expéditeurs et du destinataire de la marchandise. Ce dernier, une enseigne de la grande distribution, se dit d'accord pour régler la facture à condition que les lettres de voiture soient produites. Or, le tractionnaire lyonnais ne dispose, comme bien souvent dans ce cas, que des bordereaux de groupage. « Pour obtenir nos lettres de voiture, nous avons pris contact avec la «cellule liquidative» de Nexia. Laquelle nous a dirigés vers le repreneur, Ebre

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