Francis Babé, secrétaire général du GRDP, rappelle les enjeux : « Réduire le nombre de couches-palettes et valoriser les prestations assurées par les transporteurs ». Ce dernier met en garde, en particulier, les « grosses PME » contre la tentation d'inclure les coûts de gestion des palettes dans les négociations tarifaires avec les chargeurs : « Il ne sert à rien de privilégier le volume à la rentabilité ». D'autant que les organisations professionnelles représentant les industriels et les distributeurs de la filière de l'agroalimentaire prennent conscience de la nécessité pour les transporteurs de facturer ces prestations : « L'ANIA (Association nationale des industries alimentaires) et le Club Demeter sont sensibles à notre initiative. Il serait dommage de ne pas faire cause commune, à la fois dans une démarche de développement durable et dans un souci de rentabilité
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?