La ligne devrait organiser trois allers et retours hebdomadaires dans un premier temps. La durée de chaque voyage (départ à heure fixe) est estimée à 13 heures, soit une heure de plus que par la route, selon l'étude réalisée par le Port Autonome de Nantes/Saint-Nazaire. Lequel, par ailleurs, a évalué à 350 000 le nombre de semi-remorques a priori concernées sur un flux total de 1,2 million franchissant chaque année les Pyrénées, soit près de 30 % du trafic. Le dossier a avancé d'un pas avec l'accueil favorable émis par les autorités de Bruxelles. Les promoteurs du projet prévoient les constructions de six nouveaux navires et de deux terminaux. Facture annoncée : 300 à 400 M€, « avec 180 ME en trésorerie pour assurer au moins les cinq premières années », précise Christophe Planty, le directeur commercial du Port Autonome de Nantes/Saint-Nazaire. Cette « route maritime » pourrait être requalifiée en infrastructure au même titre qu'une route avec une rentabilité possible au bou
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