Contrairement aux objectifs de départ, au moment de l'adoption de la procédure de sauvegarde le 9 octobre dernier, le plan de sauvegarde de l'emploi (PSE) ne porte pas sur 242 licenciements mais finalement sur 211 (dont 60 % de conducteurs, le solde étant constitué de personnel de quai et administratif). La restructuration entamée par la direction d'Ebrex France prévoit également la fermeture des agences de Narbonne (25 personnes) et de Nancy (une soixantaine), celles de Clermont-Ferrand et Rouen faisant l'objet de « très fortes restructurations », selon un proche du dossier. William Gaillard, président de la filiale française du groupe néerlandais, devra toutefois obtenir le feu vert du tribunal de commerce de Nanterre (92) dans la première quinzaine de février. Dans un contexte déprimé, Ebrex France, qui traîne depuis sa reprise en mai 2007 un passif de 15 M € (gelé par le plan de sauvegarde), doit être prochainement renfloué à hauteur de 4 M € par Jan Ebus, patron d'Ebrex Internat
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