Le risque de somnolence au volant pris au sérieux

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Une étude réalisée en novembre 2007 par l'ASFA (Association des sociétés françaises d'autoroutes) révèle que 30 % des conducteurs (VL et PL) ont vécu au moins un épisode sévère d'endormissement.

Seule une pause sommeil de 30 minutes rétablit le niveau d'éveil du conducteur. « C'est la première photographie nationale disponible pour mieux comprendre la somnolence au volant », annonce le professeur Pierre Philip, spécialiste du sommeil au CHU de Bordeaux et directeur scientifique d'une enquête menée par l'Association professionnelle autoroutes et ouvrages routiers (ASFA) auprès de 40 000 conducteurs. L'étude a été réalisée en novembre 2007 auprès de 40 000 conducteurs sur la base d'un questionnaire administré par téléphone auprès d'un échantillon de 5000 personnes et via internet auprès de 35 000 abonnés au service de télépéage Liber t. Jusqu'à présent, aucune donnée accidentologique ne permettait de faire le lien entre la fréquence de la somnolence et le risque accidentel et notamment de repérer l'ampleur des « presque accidents » (1). Les seules statistiques connues concernaient le réseau autoroutier

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