Le moment choisi pour son président, Marc Grolleau, devant Jean-Paul Ourliac, directeur des Transports maritimes, routiers et fluviaux (DTMRF), et Martin Marmy, secrétaire général de l'IRU, de rappeler les enjeux pour le pavillon français, dans une « situation franchement inquiétante ». « Il faut sauver les entreprises qui ne peuvent plus supporter qu'au sein de l'Union européenne, on puisse perdre des marchés pour des raisons de dumping social, de prix de carburant, d'absence de contrôle et d'harmonisation ».
L'AFTRI voit la présidence française de l'UE, au 1er juillet prochain, comme une « occasion unique » pour l'Europe des transports. « Mais il faut préparer une stratégie claire et précise pour être véritablement efficace », assène le président. Et de suggérer quelques pistes de réflexion : une « véritable notion européenne » du temps de travail ; un carburant professionnel européen ; une politique de contrôle harmonisée ; un code de la rou
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