• L’O.T. : Comment expliquez- vous la dégradation de vos résultats en 2009 et 2010 ?
GÉRARD WEBER : Suite aux mutations industrielles qu’a connues la vallée de Saint-Amarin (68) où nous sommes implantés, notre activité s’est réorientée vers le secteur de l’automobile. Au début des années 90, nous avons construit un business-plan réaliste sur un projet de doublement de notre chiffre d’affaires pour atteindre 10 M€. Malheureusement, la dégradation de la conjoncture économique fin 2008 a poussé certains donneurs d’ordres à revoir leurs appels d’offres à la baisse. C’est ainsi que nous avons perdu deux importantes lignes que nous exploitions en régie propre pour le compte de sous-traitants automobiles. De plus, l’alternance de périodes d’activité et de chômage te
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