Sur les 256 chauffeurs interrogés outre-Rhin, un quart avoue avoir piqué du nez au cours du mois précédent et tous estiment avoir frôlé l'accident environ une vingtaine de fois pour cause d'endormissement. Explication : la qualité de sommeil est plus mauvaise en cabine qu'à domicile en raison du bruit sur les aires de stationnement. Si bien qu'un conducteur sur deux estime qu'il lui manque une heure de sommeil au compteur. Et la situation risque de ne pas s'améliorer puisque seulement un chauffeur sur cinq a pu faire part de son état à la médecine du travail l'an passé et que sur les 256 sondés, 200 n'ont jamais passé de visite médicale.
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