Les dossiers du transport routier patinent

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Le dernier Conseil de ministres européens des Transports de la présidence française n'a pas permis d'aboutir, le 9 décembre, à un consensus sur la directive Eurovignette ni sur les sanctions transfrontalières.

Les priorités et ambitions revendiquées par la présidence française de l'UE pour les transports se sont réduites comme peau de chagrin. La révision de la directive Eurovignette comme la proposition de directive sur les sanctions transfrontalières piétinent.

L'adoption du principe du « pollueur-payeur » pour internaliser les coûts externes ne fait aucun doute. En clair, il s'agit d'une redevance facultative pour réduire la pollution locale, les nuisances sonores et la congestion urbaine. Mais un flou persiste pour définir les coûts externes retenus et préciser l'assiette de calcul. La proposition de la Commission, exposée le 8 juillet par le commissaire Antonio Tajani, lors de la présentation du « paquet routier » vise à exclure de l'assiette les accidents et le CO2. « Le commissaire européen chargé des Transports s'est félicité de la qualité des travaux impulsés par la présidence française », souligne A

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