«Jusqu'à une période récente, la vitesse était la première cause de mortalité sur la route, observe Michèle Merli, déléguée interministérielle à la Sécurité routière. C'est la raison pour laquelle, la politique des radars n'est pas isolée de l'ensemble de la lutte contre l'insécurité routière. » Pour le TRM, le sujet est éminemment sociétal parce qu'il est synonyme de drames humains et de décès inutiles. Pour rappel, le coût de l'insécurité routière s'est élevé à 32,9 Md€ en 2001 pour être ramené à 25,4 Md€ en 2007. Et ce, grâce à l'action résolue des pouvoirs publics dès 2002.
La politique de développement des radars (fixes et mobiles) a contribué à la réduction de l'accidentalité. Le nombre de tués est passé de 7 720 en 2001 à 4 274 en 2008. « Les radars sont des outils efficaces pour atteindre les objectifs de baisse d
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