C'est ce qu'a voulu savoir l'Association européenne transport développement intermodalité et environnement en réalisant une étude, publiée par le Conseil national des transports. Elle indique que les États membres continuent à assurer leurs fonctions de régulation et réglementaire. Ils « gardent généralement la pleine maîtrise » de la taxation à l'usage des infrastructures et des prélèvements fiscaux et financiers. Quant aux ressources tirées de l'activité transport, elles alimentent largement leurs budgets. Côté planification, les adhérents de l'UE prévoient des chantiers sur le long terme, à horizon 2010 à 2025, mais rencontrent « une flagrante difficulté de mise en oeuvre » principalement par manque de moyens financiers. Certains pays, comme la France, les Pays-Bas et l'Allemagne, disposent toutefois d'une « tradition planificatrice » avec des feuilles de routes régulièrement révisées pour outils. Le montant des investissements, quant à lui,
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