Après TLF, c'est au tour de l'Unostra de contester le résultat du scrutin. Dans un bref communiqué du 19 octobre titré « la profession perd le CNR » et non signé, cette dernière dit n'avoir pas souhaité renouveler l'investiture de son représentant « notamment au regard des positions divergentes prises par celui-ci par rapport à l'implication de l'Unostra dans l'UPR (Union des professionnels de la route, ndlr) et à la nécessaire logique de cohésion de la profession pour la défense des grands dossiers ». L'organisation présidée par Catherine Pons termine en indiquant qu'elle « envisage de dénoncer auprès du ministre des Transports une élection qui fait perdre au CNR son indépendance et sa légitimité ».
La FNTR ne voit pas du tout la situation du même oeil. Dans un communiqué tout aussi court, elle souligne que le vote s'est déroulé, « dans la lettre et l'esprit », en conformité avec les textes. Et « déplore le comportement d'une minorité d'administrateurs qui, refusant le verdict du
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