Les inconnues du chômage partiel

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Une fois l'intérim stoppé, les congés et repos soldés, les forfaits horaires abaissés, comment gérer la réduction des trafics au plan social ? Le recours au chômage partiel, nombre de transporteurs l'envisagent en dernière extrémité voire s'informent « au cas où... » Sans gaieté de coeur.

Le 8 décembre, l'usine PSA à Sochaux a arrêté son activité pour un mois. En Franche-Comté, les salariés de PSA et de Renault ont été mis en chômage partiel. La contagion s'étend à la chimie, à la fonderie, à l'industrie pneumatique... Et demain, aux entreprises de transport routier ? « C'est quelque chose qui nous était totalement étranger jusqu'à présent. C'est une mesure qu'on étudie. Mais nous ne sommes pas encore arrivés à cette extrémité. Son éventuelle adoption dépendra du niveau de la reprise d'activité de l'automobile en début d'année. Aujourd'hui, aucun constructeur ne s'engage sur des prévisions de volumes », admet un collaborateur de TEA (groupe Charles André) spécialisé dans la distribution de véhicules neufs.

Méconnaissance

Preuve supplémentaire que les transporteurs s'interrogent sur la gestion sociale de leu

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