Les infrastructures, moteur de l'euroméditerranée

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Organisée au Palais du Pharo à Marseille, l'université de TLF a choisi les échanges euroméditerranéens pour affirmer sa différence. Les débats ont notamment porté sur la relance des projets d'infrastructures entre le Nord et le Sud.

«L'Union pour la Méditerranée en questions », le thème de la table ronde présidée par le président de TLF, Philippe Grillot lors de l'université de la fédération (les 21 et 22 octobre) a réuni une pléiade d'experts. C'était la moindre des choses pour tenter de répondre à une question complexe. Comment organiser les flux entre pays du bassin méditerranéen sans se laisser distancer par les pays asiatiques ? Autrement dit, comment miser sur des projets d'infrastructures dans le cadre de l'Union pour la Méditerranée ? Animée par le journaliste Didier Adès (animateur de l'émission « Rue des Entrepreneurs » sur France Inter), la table ronde a permis de faire un état des lieux. Dans un contexte de crise économique, les intervenants ont avancé des propositions concrètes. « S'il n'y a pas d'échanges, il n'y a pas de Méditerranée », a rappelé Jean-Louis Guigou, le délégué général de

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