« Il est devenu indispensable que les -3,5t puissent être représentés auprès des autorités et des collectivités, explique Étienne Audoux, patron des Transports Audoux et à l'origine de l'association baptisée CT2L (Collectif des Transports Légers du Limousin). Laquelle regroupe déjà, avant même que ne soit lancée la campagne d'adhésion, 20 entreprises qui pèsent 300 salariés. Nous avons des problèmes spécifiques dont personne ne tient compte, et d'autres communs avec certaines professions mais pour lesquels nous ne bénéficions pas du même traitement ! Nous ne pouvons pas répercuter les hausses de prix du gazole et nous voulons obtenir, comme les PL, les taxis ou les pêcheurs, un coup de pouce de l'État... ». Autre préoccupation : les schémas des aires de livraison. Dans les deux principales agglomérations limousines, ceux-ci sont inexistants. « On nous demande de ne pas gêner la circulation, on nous verbalise allègrement, mais on est incapable de nous dire comment procéder
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