Une décision prise pour les quatre ans à venir (au lieu d'une année habituellement) pour « permettre aux transporteurs routiers de mieux préparer leurs plans d'investissement et le renouvellement de leur flotte. C'est également un signe important pour les constructeurs de poids lourds » se félicite la CEMT. Le contingent de base auquel a droit chaque pays ne change pas. La nouveauté ? La révision à la hausse du coefficient de conversion (de 1 à 6) et du bonus (de 10 à 40 %) visant à favoriser les parcs de véhicules les moins polluants. Exemple : un État demande 100 autorisations en Euro III. Le nouveau barème multiplie ce nombre par six, soit 600 autorisations auxquelles il applique ensuite un bonus de 20 %. Au final, l'institution délivrera 720 autorisations, au lieu des 100 requises initialement. Pour la même demande en Euro II, le pays n'en obtiendra que 200, sachant que cette catégorie ne bénéficie d'aucun bonus (cf tableau). Pour rappel, le
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