Lors d'une réunion avec la Direction générale de la Mer et des Transports, le 30 novembre, les organisations professionnelles ont été invitées à formuler leurs griefs à l'encontre du chrono numérique. Des doléances que la DGMT dit vouloir « objectiver » grâce au lancement de deux chantiers. « Dans un premier temps, à la fin décembre et au début de janvier, il s'agira de vérifier la nature et l'ampleur des problèmes », a indiqué Patrice Raulin, directeur général. Pour ce faire, l'administration recourra à un procédé identique à celui utilisé par l'OTRE (L'OT 2381) à savoir l'organisation de quelques tests « comparatifs » avec des véhicules-écoles équipés de l'ancien et du nouvel appareil. En parallèle, elle demandera à des spécialistes techniques, ingénieurs des Ponts et Chaussées, d'examiner le « cahier des charges » européen (l'annexe 1B) afin de faire apparaître d'éventuelles « pistes de progrès ». Elle se chargera de faire remonter les informations à Bruxelles. Enfin, et « si
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