L'OT : Comment le groupe Transalliance traverse-t-il la crise marquée par le recul des volumes et la baisse des prix, en sachant que 15 % de votre chiffre d'affaires consolidé dépend de l'automobile et 12 % de la sidérurgie ?
A. M. : Nous avons souffert comme tout le monde de la conjoncture. La brutalité de la crise nous a surpris. Les difficultés ont commencé en novembre 2008 et nous sommes sortis de ce tunnel en mars. Cette crise nous a tous bousculés. Quelle violence !
L'OT : La filière automobile et votre Pôle dédié représentent-ils toujours 15 % de votre chiffre d'affaires consolidé, comme en 2008 ?
A. M. : Non, cette part est évidemment moindre. Toute la filière automobile a pris de plein fouet la chute des ventes et nous sommes en train de réorganiser notre Pôle automobile. Mais nous restons fidèles à notre business plan
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