Objectif : faire face à « la menace du terrorisme et d'autres actes criminels ». 60 recommandations visent les chefs d'entreprise. Ils devront, selon leurs possibilités, charger un cadre dirigeant des questions de sûreté. Concernant les documents de transport, les données contenues dans les bordereaux commerciaux à bord des véhicules et portant sur les marchandises de grande valeur devront être limitées. Des sessions de formation sur la nature des risques et les méthodes visant à y faire face devront être organisées régulièrement afin que la notion de sûreté « entre dans la routine quotidienne des employés ». Les véhicules devront être dotés de dispositifs de sûreté. Pour la communication, la structure, si elle en a les moyens financiers, devra recourir à localisation GPS. Dans l'enceinte de leur entreprise, les dirigeants devront délimiter les zones d'accès des visiteurs et du personnel et instaurer un contrôle des entré
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