«Si rien ne change, le secteur de l'exceptionnel sera sinistré à la rentrée ». Le cri d'alarme de Jérôme Aloé, responsable d'un bureau d'études spécialisé dans les demandes de convoi exceptionnel en région parisienne, n'est pas isolé. L'arrêté du 26 novembre 2003 relatif aux transports exceptionnels de marchandises, d'engins ou de véhicules, entré en application le 21 mai (L'OT 2264), a provoqué un tollé chez les professionnels. La plupart d'entre eux estiment que le délai avant le départ d'un « colis » a été allongé de deux à trois semaines supplémentaires. Leur charge de travail est multipliée, mais aussi celle des DDE qui doivent vérifier les dossiers. Devant la montée des récriminations et après avoir
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