Les transporteurs laissés pour compte

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Les transporteurs laissés pour compte

Les entreprises de transport ne sont plus les bienvenues dans les 85 zones franches que compte le territoire. Mais la réglementation, complexe et pas toujours bien maîtrisée, peut parfois être adaptée au niveau local pour les salariés sédentaires.

Pour tenter d'apaiser les tensions dans les banlieues françaises, le Premier ministre, Dominique de Villepin, a annoncé le 7 novembre la création de 15 nouvelles Zones Franches Urbaines (ZFU), portant à cent leur nombre total sur le territoire. Leur but : aider les entreprises à s'implanter dans des quartiers « sensibles » en leur accordant divers avantages pendant 5 ans ou plus : exonération de l'impôt sur les bénéfices, de la taxe professionnelle, de la taxe foncière sur les propriétés bâties, des charges sociales patronales. Les transporteurs installés dans l'une des 41 ZFU créées en 1997 (1) ont pu en bénéficier. Mais, depuis 2004, la profession n'est plus la bienvenue dans les ZFU. Selon la Délégation interministérielle à la ville, « l'objectif des zones franches est d'amener du travail dans des lieux où le chômage est très important et d'amener de la vie dans ces q

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