L’espoir des accords volontaires de branches

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Les représentants de la grande distribution, de l’industrie automobile et du transport de conteneurs sont favorables aux accords volontaires de branches. Un préalable pour couvrir une partie des coûts de transport.

C’est une bonne nouvelle pour l’Union nationale des associations de transporteurs routiers (Unatras). En septembre dernier, les donneurs d’ordre de la grande distribution, de l’industrie automobile et les opérateurs de conteneurs se sont élevés contre la Confindustria, le puissant patronat italien présidé par Emma Macegaglia. Bien que rattachés à cette omnipotente organisation, les industriels ont fait valoir leur autonomie en acceptant l’application de la loi sur les coûts minimaux de transport en vigueur depuis mai 2010.

« C’est un message inespéré qui lance les pourparlers liés aux accords volontaires de branches (accordi volontari di settore) », affirme Marco Digioia, le délégué général de la Confartigianato Transporti, la confédération des artisans-transporteurs. Il s’agit de respecter à la lettre l’article 83 bis de la loi 112/2008 que le sous-secrétaire d’état chargé des Transports

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