L’ESPOIR EN LA RÉFORME FERROVIAIRE

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La réforme du rail donnera naissance à un groupe ferroviaire (GPF) fort, chapeauté par SNCF et concerne plutôt le transport de voyageurs, dont l’ouverture à la concurrence interviendra en 2019. Le projet renforce a priori les prérogatives de l’autorité de régulation des autorités ferroviaires (ARAF). Organisations professionnelles, entreprises et opérateurs ferroviaires observent d’un œil particulièrement attentif la future organisation puisque son point fort réside dans la constitution d’un gestionnaire d’infrastructure unique « SNCF Réseau ». La réforme doit endiguer une dette abyssale et offrir plus d’efficacité et une meilleure productivité. État des lieux.

C’est une réforme ambitieuse qui doit marquer le « retour de l’État stratège » et donner naissance à un grand groupe public ferroviaire constitué de trois établissements à caractère industriel et commercial (EPIC). Présenté par Frédéric Cuvillier, le ministre délégué aux Transports, au Technicentre de Pantin (93), le projet de loi, validé par l’autorité de la concurrence et le Conseil d’État, a été adopté en Conseil des ministres le 16 octobre (L’OT

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