L’Etat abandonne les transporteurs

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La grève générale du 24 novembre qui a bloqué l’ensemble du Portugal incitera-t-elle les pouvoirs publics à faire un geste en direction du TRM ?

Plus de 500 vols annulés dans les différents aéroports portugais, les principaux ports paralysés dont ceux de Lisbonne et Setubal : l’appel à la grève lancé par les deux principaux syndicats portugais (CGTP et UGT) a été largement suivie. De nombreux syndicats ont rallié le mouvement notamment dans le secteur pétrolier, la banque et la presse. Si l’économie est ébranlée, c’est que le Parlement est en passe d’adopter un budget d’une rigueur sans précédent, lequel doit réduire le déficit public de 7,3 % du PIB cette année à 4,6 % fin 2011. Dans un pays où le salaire moyen est inférieur à 800 euros, la secousse tellurique ne peut qu’inquiéter les entreprises de transport. Lesquelles continuent à réclamer le gazole professionnel pour leur profession sans se faire trop d’illusions. « Nous ne bénéficions d’aucune aide en matière de carburant, déplore Antonio Manuel Roc de Sousa, directeur du service trafic de Transportauto, entreprise spécialisée dans la citerne alimentaire et le camio

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