Lors d'une première audience, le 12 mars, la Société Occitane de Service (SOS) et la Société Occitane Véhicules Industriels (SOVI) avaient déjà été liquidées (L'OT 2255). La SOT, la Société Occitane de Location (SOL), la société Réseau Service Plus et la Société Commingeoise de Transports (SCT) avaient obtenu un sursis de 15 jours. L'unique projet de reprise, porté par un affréteur parisien, Pierre Coutant, associé à un transporteur espagnol n'a pas été retenu. Leur dossier prévoyait la création d'une nouvelle SAS « Transeuropean Logistics » mais ne «tenait pas assez compte des différentes structures de l'entreprise SOT», selon le tribunal. Les 146 salariés doivent recevoir leur lettre de licenciement la semaine prochaine. Une table ronde s'est tenue le 29 mars pour la mise en place d'un plan social et d'une cellule de reclassement. Elle réunissait le préfet du Gers, Jean-Michel Fromion, le maire d'Ordan-Larroque (siège de la SOL et de la SCT), Michel Bart, le secrétair
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