Opération dont le coût global est chiffré à quelque 12,5 milliards d'euros. Les deux pays subventionneront la nouvelle voie, qui servira à la fois pour le TGV et le transport de marchandises, à parts égales (5 Md€ chacun) tandis que le solde (2,6 Md€) devrait être supporté par le budget de l'Union européenne. Bruxelles peut en effet financer jusqu'à 20 % des chantiers qui, comme celui-là, font partie des 30 projets transfrontaliers d'infrastructures prioritaires avalisés par le Parlement. Toutefois, l'obtention de cette subvention européenne n'est pas encore acquise. La France et l'Italie doivent d'abord faire une demande de co-financement à l'Union européenne, qui sera ensuite examinée par un comité d'experts nationaux des 25 États membres, avant d'être tranchée par la Commission. La date de réalisation et d'entrée en fonction du projet est prévue pour 2015-2018. Loyola de Palacio, commissaire européenne chargée des Transports, a fait part de sa « satisfaction ». « Elle soutient le projet
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