Pour la 3e fois depuis la fondation de l'Organisation des transporteurs routiers européens en 2000, le ministère a en effet fait la sourde oreille à l'invitation du syndicat à participer à son congrès tenu à Bordeaux le 22 février. Quant aux demandes d'audience, elles sont également restées lettre morte. Autant de camouflets pour l'OTRE qui estime désormais représenter, avec « 3 000 adhérents et 6 000 sympathisants, la deuxième organisation professionnelle du secteur ». Une consolation néanmoins pour Jean-Pierre Morlin : « la justice nous a rendu notre droit naturel et légitime à siéger dans les comités régionaux de transport et les commissions de sanctions administratives ». Cet été, une décision a en effet été rendue en ce sens en Aquitaine au détriment de la FNTR. Galvanisé par ce début de reconnaissance, le syndicat a centré son action sur la défense du pavillon français « en pe
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