« Si jusqu'à présent, nous avons été victimes d'un certain ostracisme parisien, le cycle démocratique nous rend aujourd'hui tous nos droits. Nous saurons les utiliser et rappeler les élus à leurs devoirs d'écoute et d'ouverture », a souligné Jean-Pierre Morlin, le 28 janvier, à Paris. De retour d'un rendez-vous avec des conseillers de Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux Transports et à la Mer, le président de l'OTRE a affiché amertume et déception face au traitement réservé à son organisation. Convaincu de son bon droit, il estime que le problème est « politique ». L'OTRE maintiendra donc, dans les départements, ses manifestations de mécontentement « autorisées par la loi », souligne Jean-Pierre Morlin. Si elle s'en remet à la nouvelle Union des Professionnels de la Route pour la conduite des principaux dossiers fiscaux et sociaux (réforme de la carte Caplis, taxe kilométrique, modalités de rembours
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