L'UIC ne veut pas d'entrave à la route

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Avec un chiffre d'affaires de 99,8 Md€ et une place de 2e producteur européen, le secteur de l'industrie chimique en France plaide pour une ouverture du marché des professions portuaires, celle plus large du ferroviaire, et la mise en oeuvre de réformes pour la route.

Avec des coûts logistiques qui représentent 10 % du CA, l'UIC (Union des Industries Chimiques) a rappelé, cet été, l'importance du maillon transport dans la compétitivité des entreprises et pointé ses handicaps. « Handicaps qui peuvent se traduire chez les industriels par une politique d'investissements privilégiant d'autres pays européens », rappelle Dominique Rain, responsable transport et énergie à l'UIC. Si le mode routier, qui absorbe environ 65 % des volumes de l'industrie chimique en France, est jugé performant, l'UIC plaide pour un passage à 44 t, gage d'amélioration d'un point de vue économique et environnemental. Tant pour les industriels que pour les transporteurs. Mais l'UIC craint une nouvelle taxation de la route pour financer des modes alternatifs -fer et fluvial- qu'elle juge sévèrement. Alors que la profession misait sur une offr

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