L'UPR veut de la volonté politique

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L'Union des professionnels de la route (UPR) oppose, sur six sujets, des solutions aux conclusions du Grenelle de l'environnement.

Après une période de silence, l'Union des professionnels de la route (UPR), qui réunit TLF, l'OTRE et l'AFTRI, remonte à la surface et veut faire entendre sa voix au sortir du Grenelle de l'Environnement, le 25 octobre (L'OT 2427). En présence de MM. Bréau, Fauqueur et Morlin (Marc Grolleau, président de l'UPR, a été excusé), l'organisation créée en 2003 a présenté le 6 décembre une plateforme d'actions s'appuyant sur six dossiers jugés prioritaires : le gazole professionnel ; la taxe professionnelle (TP) ; les péages autoroutiers ; les camions HQE (euro 5 et 6) ; l'optimisation des capacités de chargement ; l'Eco-taxe PL. Sur cette dernière question, devant le risque d'une fiscalité supplémentaire, les principes de compensation et de répercussion ont été revendiqués. « Nous devons travailler sur ces deux leviers, afin que le dispositif soit neutre pour nos entreprises », assure Alain Bréau. Lequel craint le « rétablissement de l'octroi » avec l'apparition de recettes fiscales loc

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