Maurizio Lupi tombe pour corruption

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Soupçonné d’avoir fermé les yeux sur les agissements de son directeur des Grands Travaux arrêté le 16 mars pour avoir truqué des marchés publics comme les lignes ferroviaires à grande vitesse et l’Exposition universelle de Milan, le ministre des Transports et des Infrastructures a jeté l’éponge le 20 mars dernier.

Maurizio Lupi n’était ni mis en examen ni directement impliqué dans le nouveau scandale de corruption qui touche une cinquantaine de personnes dont plusieurs entrepreneurs et des politiciens. Les enquêteurs lui reprochent seulement d’avoir accepté des cadeaux offerts par les entrepreneurs hébergés dans les geôles de la République italienne comme un costume fait sur mesure et une montre Rolex d’une valeur de 10 000 euros pour son fils. Et puis, des écoutes téléphoniques ont révélé que l’ancien ministre a demandé à l’un des accusés, de trouver un emploi à son fils fraîchement diplômé en ingénierie. Trop peu pour une mise en examen mais suffisamment pour que le président du Conseil, Matteo Renzi, qui veut rayer le mot corruption du lexique politique italien, lui suggère de rendre son tablier. D’ail

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