Aux Transports Perbet, à Saint-Etienne, Sandra Cellier, responsable des ressources humaines (RRH), fait depuis le 1er janvier le décompte mensuel des situations de pénibilité, en particulier pour les 44 salariés qui assurent un travail de nuit, principal facteur de pénibilité dans l’entreprise. « Nous devons présenter notre situation fin 2015, explique-t-elle. Comme nous y avons déjà travaillé l’an dernier, nous disposons d’un outil adapté que j’ai intégré à mon logiciel de paye pour évaluer ce que la réforme va nous coûter ». L’entreprise est prête. Au premier semestre 2014, elle fut l’une des 18 PME de transport de la Loire (15 de TRM, trois de voyageurs) à participer à une expérimentation sur la pénibilité initiée par la FNTR 42, avec l’Agence nationale des conditions de travail (Anact) et un consultant. « Nous voulions les aider à créer un compte pénibilité, note Sylvie Plotton, secrétaire gé
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